Jean-Paul des Nuits

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« Ach so ! »

Jean-Paul des Nuits est un médecin sans frontières belge, pardon il a des frontières communes avec la France et l' Argentine.

Et la lumière se fit !

Personne n'a jamais su comment le grand gouru de la médicine occidentale, Jean-Paul des Nuits (né Juan Pablo de la Vache au Lait) est né. On n'est sur que d'un fait. De l'autre, non plus.

Les premiers racontars des histoires de l'existence de ce grand poète voudouisant se trouvent dans les leçons médievales de Ferdinand de la Louisiane qui, en voulant arriver à l'océan Pacifique par l'étroit du même nom, a demandé, à Pocahontas, de lui dire par ou il fallait passait. Comme cette indigène ne connaissait pas les parlers de l'époque, elle affirma, en bon et du castillan: "Los choripanes sólo se comen si no hay gnocci los 28; entonces comemos milanesas para todos".

Ebloui par la beauté de son accent, et son charme latino, Ferdinand l'épouisa (pardon, l'épousa) et l'invita à monter dans son navire, "Le Lulanic". Et, quand il finit de la comprendre, il décida de la déposerd dans un très bon port très bien aéré. Elle yt devint Présidente à perpetuité (malgré son français).

Arrivé à l'océan Pacifique, le meilleur ami de Maguellan, le grand héroo et maitres des Ciels arabes, Eric Decamps,lui siffla à l'oreiie: "Et si on le nommait Révolutionaire c'est océan? C'est très à la mode de faire des révoluntions printanières..." Mais Jean-Paul, las de toujours devoir se moucher son oreille à chaque fois que Decamps lui sifflait n'importe quoi à l'oreille s'exprima, en mettant sa main gauche sous sa veste noir: "Cet océean, c'est Moi". Et comme Jean-Paul n'était qu'un bon gentil compagnon, et qu'il était ami de tous, le malelot Paulo González eut la idée, géniale, de proposer comme nom officile de ce vaste océan intracontinentale: "Océan Moi". Plus tard, la résolution No. 2340123'2 de la XXX Assemblée des pays maritines a refusé la proposition de González, représentant de la République du Vénézuela. Heureusement, un balottage eu lieu deux heures après. Et grâce à Rafael Despradel, dictateur dominicain (habitant la République Dominicaine, pas un couvent) obtint une entente cordiale entre les pays arabes, qui s'opposaient à ce que cet océan qu'ils avaient déjà connu et nommé, et la délégation de la Bolivie, qui voulait,impérativement qu'il fut nommé comme "l'Océan Chávez". Vers minuit, un coup de téléphone retentit dans la grande salle des débats du Palais de Versailles. C'était Chávez qui demanda à parler au représentant de la Bolivie (c'était son cousin germain). Dans les archives contenant des documents de cette session mémorable on peut lire que le message du président Chávez était fort simple et d'un sagesse quasi angélical: "Cet océan, cet océaaan nous appartient à tous! Je suis le représentant du peuple du Vénézuela, et comme la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen affirment qu'on est égaux en droits, alors moi, citoyen du monde, j'ai le droit à faire n'importe quoi avec cet océean... comme je le fis à Macondo, quand j'avais douze ans... Ahhh, j'étais chez ma grand-mère, qui habitait à coste d'un boucherie... j'était pieds-nus parce que je n'avais pas beaucoup d'argent; enfin, oui, j'avais du quoi me payer un McDo et inviter des belles demoiselles voir du Disney... co== Texto de titular ==mme elles étaient belles les demoiselles, ahhh, la jeunesse. Machado! Demande à Fidel s'il veut que je lui achète une MAC ou un PC, il est très radin ce Fidel, il n'achète que du chinois... alors, en Chine, j'ai rencontré BaKi Moon, il est gentil ce chinois, mais il ne comprend pas, il ne comprend qu'il faut faire la réeeeevolutionaux Nations-Unis et lutter contre l'Impire Britannique!!! Ah, la reine. Oui, Chabela, je la connais. On a bu du thé, mais elle n'a pas voulu goute une glace de Coromoto que je lui ai proposé avec du lait parfumé à la bolivarienne.... Natasha! Rappelle-moi de téléphoner à Kate pour lui demander de m'envoyer deux chapeaux pour María, il fait trop chaud en Syrie et il ne faut pas qu'elle prenne du soleil.... Ah le soleil, qu'il est pacifique dans le Chili... Oui, c'est ça l'Océan Pacifique. Mariano, note-moi ça et demande à Evo de quel costé il veut sa sortie à la mer...."

Et si tu la fermais, toi, ta gueule?

Au musée du Bundestagreichzenhorangeundplafzenrig on peut lire, sur les tablette souvenirs que le petit Jean-Paul a acheté (à de très bon prix dans un marché sur Rapanui) le texte suivant (traduit au français par Rafael Despradel (traducteur et interprète de grande réputation): "SOUVENIR DE RAPANUI, MADE IN CHINA". C'est pour cette raison que Jean-Paul anima son père et tous les matelots de continuer leur voyage à Maiden Island, puisque il étaient persuadé que là il pourrait acheter plus de tablettes pour faire du commerce et reconstruire le Musée Espéranto se trouvent en République Dominicaine. Une fois arrivés à Timor Leste, Jean-Paul, qui connaissait déjà le français, parla au grand roi de Timor: "Je suis là". Et comme Rovaratonga Oliveira da Figueira ne comprenait très bien le francien du XVI, il réponda: "Oui, t'es pas là, C'est là haut, la Chine (quel con!)." Un monument à la sagesse du roi Rovaratonga Oliverai da Figueira fut érigé dans la capital du Timor, après avoir massacrer le roi, sa femme et tous ses enfants...

Quelques mois après, la moitié des matelots européens qui accompagnait le père de Paul et sa troupe décida de faire famille dans les isles. La Papouasie Nouvelle-Guinée est encore peuplée d'une kyrielle d'enfants de toutes les races parlant toutes les langues. Seul la langue d'Oc est restée comme lingua franca. Et c'est pour cette raison que personne n'est pas encore capable de comprendre pourquoi il ne faut pas mettres des plumes bleues quand on porte une jupe aux feuilles de platanes vertes en Papouasie... Et puis, c'est plein de pous à papas cette ile (évidemment c'étaient les anglais qui les ont découverts...).

Welcome to Beijing 2008!

Le voyage s'avera long et difficile... Jean-Paul avec déjà 13 ans quand il arriva au comptoir mexicain de Hong Kong. Comme il ne comprenait pas leur langue, il fit la même chose que Christophe Colomb. Rien. Et comme il ne fit rien, il continua ensuite vers la grande capitale de la Chine: Beijing. Ne comprenant pas la langue, ce qu'il pensait que c'était le Miss World 2008 n'était qu'une simple compétition sportive internationale. Comme sa compagnie était fatiguée d'avoir parcouru le monde pendant des mois, il décida de rester tout un mois pour se reposer (et pour mâtes les candidates au concours de beauté le plus prestigieux du monde). Le jour du grand opening, des tambours retentissait partout, et des milliers des chinois faisait des coreographies pas possibles. Le publique, tout excité, attendait le début du concours. "Il doit certainement y avoir une candidate de Guam", s'est-il dit à lui même. Après des discours en langues barbares, les demoiselles des toutes les nations libres du monde (sauf Cuba et la Corée du Nord) on défilé dans ce qu'il croyait, était la plus belle parade du monde.

Comme il ne comprenait pas le javanais de Chine, il ne sut jamais que la première dame qui défila n'était pas l'Argentine, comme d'habitude (l'ordre alphabétique américain oblige), mais celle de la Zambie. Et comme toutes les filles qui portaient les drapeaux des pays participant au Miss World était toutes pareilles, il pensa, juste un instant, que c'était peut-être pas le Miss World, mais le Miss Universe de Donald Thrump. "Je m'en fiche", a-t-il dit à sa persone, se regardant sur la glace (à la hyppocampe qu'on lui avait offerte à l'entrée à ce grand championnait féminin internationale. Comme il était seul, et que tous ses matelots avaient décidé de faire la promenade sur la grande muraille, il s'approcha de la loge du roi d'Espagne, Juan Carlos, et lui sifflait à l'oreille: "Allez, Jean, je te parie que toi, t'es pas cap de faire taire à tous ces gens de couleur jaune". Et Sa Majesté, en lui regardant fixement pendant une longue minute de 30 secondes lui di: "Juan Pablo, cállate tú!". Un recueil des citations du roi d'Espagne est sorti en hiver 2009 avec l'expression "Tais-toi" traduite dans 405 langues (y compris le latin "Fermurum la Galia", le finnois "Perkele" et le maltais du nord "Ras ta' zobb"... une controversial traduction de cette phrase dans la langue des sourds et des muets de l'Italie ne cesse de créer polémique car, pour demander à quelqu'un de se taire, dans se pays, il faut parler, et quand on ne peut pas parler, c'est parce qu'il y a un grand silence dans ce pays, et quand l'Italie ne parle pas, c'est parce que Berlusconie est occupé... enfin, sa bouche)...

Héritage

L'intégration de la Macarena dans la vie quotidienne des habitants du monde marque le début d'un nouvelle ère planétaire. Selon une étude de l'INSEE, l'espérance de vie se rallonge de trois mois toutes les années depuis la publication des trouvailles du "gourou binchois". Eric Decamps se voit octroyer des distinctions dans des universités, des Parlements et des sex shops de quatre coins du monde. En 2012 il reçoit, à Oslo, le Prix Nobel de la Paix grâce a sa contribution à l'amélioration de la qualité de vie et à la paix en Moyen Orient.

Le "Macarénium", un grand musée exposant des objets personnels d'Eric se trouve aujourd'hui à Binche. A part la boutique souvenir tenue par sa grand-mère Raymonde et le café "El Che" où son cousin italien anime des soirées "cannabaises", il y est possible de voir les dépouilles momifiées de ses deux précieux codis, Jupiler et Colin, ainsi que son énorme collection de films érotiques suédois et dominicains.

En 2017, pendant son retour d'une rencontre altérmondialiste qui a eu lieu à Johannesbourg, son avion doit attérir sur l'île de Saint-Hélène à cause d'une panne mécanique (on soupçonne un attentat des associations de pompes funèbres, qui ont vu decroitre leurs chiffres d'affaires). Une fois l'avion réparé, Eric n'a pas pu être retrouvé et l'Europol est immédiatement saisie de l'affaire. Deux ans plus tard, en 2019, sa dépouille est retrouvée par un villageois à demi mangée. L'affaire n'a jamais pu être éclaircie et les autorités ont décidé de clore l'affaire.

Cepedant, selon les dires des habitants de Saint-Hélène, Eric Decamps, grand bénéfacteur de l'Humanité et ami de tous, a été victime du terrible "chupacabras", bête carnivore qui hante, depuis des années, le sommeil de tous les villages de l'île.

Publications

Première édition du livre "Macarena pour les Nuls"
  • "Va te faire enculer" (Gallimerde, Paris, 1993)
  • "Sade, mon ami" (Publications Vaticanes, Rome, 1995)
  • "Kamasutra pour célibataires" (Despradel Editores, Madrid, 1996)
  • "Le Grand Livre de la Macarena, volume 1" (Tusquets, Barcelone, 2007)
  • "La Macarena pour les Nuls" (Gangbang Publishing, Québec, 2007)
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