Note en bas de page

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Un exemple de note en bas de page.

Une note[1] en bas de page[2] est une information[3], placée en bas de la page[2], complétant une phrase ou un mot signalé par le symbole[4] commun.

Notes en bas de page

  1. Il ne s'agit pas d'une note de musique[13], mais d'un court[5] texte. C'était pourtant évident, imbécile !
    Un exemple de Martin Amis en bas de page.
  2. Il est également possible que l'équivalent d'une note[1] en bas de page apparaisse sur un autre support, tel qu'une planche de bois[8], du jambon de Parme[24] ou une scutigère[15].
  3. The information est un roman de Martin Amis sorti en 1995. C'est également un album de Beck, sorti en 2006. Hum[22], vous vous en foutez[7] ?
  4. Un célèbre dictionnaire[10] en ligne définit un symbole comme étant un « signe, emblème ou glyphe représentant une idée, un concept ou un objet ». Avouez que si vous ne savez pas ce qu'est un symbole[4], vous êtes plutôt mal barré.
  5. Il n'y a actuellement pas de consensus sur la longueur optimale d'une note[1] en bas de page[2]. Bien que celles-ci soient en général assez courtes, des observateurs indigènes des régions australes de Nouvelle-Guinée[19] prétendent avoir vu des notes sauvages allant jusqu'à plusieurs dizaines de mètres, n'hésitant pas à s'attaquer à l'homme, à dévorer les enfants, à ravager les cultures et à détruire les iglous[14].
  6. Il s'agit d'un chiffre servant d'identifiant. Exemple: "Gontran Bluguch est un drôle de numéro". Hum[22], cela ne va pas vous aider à comprendre, ça. Oh, et puis allez vous[23] faire foutre !
  7. À partir du moment où vous[23] lisez cet article[26], il faut prendre ses responsabilités. Vous[23] n'allez pas me dire que vous vous attendiez à lire un truc intéressant qui parle des notes[1] en bas de page[2] !
  8. Au départ, je pensait rajouter ici un complément d'information[3] très instructif et enrichissant sur les planches en bois. Mais après mure réflexion, j'en suis arrivé à la conclusion que peu de choses peuvent être dites sur les planches en bois. Hum[22], puisque j'y suis, je suis bien obligé. Alors voilà: les planches en bois, c'est chouette. Bon, pas super-super-chouette non plus, mais c'est pas mal quand même. Enfin, moi, je trouve[11].
  9. C'est un chouette mot, billevesée.[7]
  10. Certaines notes[1] en bas de page[2] sont à destination des imbéciles sans culture qui sont pas capables de se rendre compte qu'il suffit de prendre un dictionnaire pour obtenir les précisions souhaitées. Sans vouloir vous[23] offenser, petit con.
  11. À titre informatif[3], veuillez noter[1] que cette phrase est particulièrement intéressante. Il s'agit même de la phrase clé de cet article[26]. Bien qu'à première vue, il s'agisse là d'une phrase banale, tant sa construction révolutionnaire que ses implications profondes, aussi bien philosophiques que métaphysiques, marqueront sans doute à jamais l'histoire des notes[1] en bas de page[2]. Et ... Mais ... Ah tiens non, je me suis trompé de phrase, au temps pour moi.
  12. Euh, je disais quoi déjà ? Merde ! J'ai perdu le fil. Bon, on recommence là[1]. Ou bien là[8]. Ou alors là[9].
  13. La musique fut inventée au XVIéme avant J.C. par Nargataglidul, cruel roi babylonien[12], lorsqu'il torturait ses ennemis capturés sur les champs de bataille. Il découvrit ainsi que les prisonniers du royaume de Larsa avaient un timbre de voix beaucoup plus aigü que les Gutis, tandis que les cris brefs que poussaient les Isiniens lorsqu'on leur arrachait les ongles étaient l'idéal pour marquer le rythme. Une fois séchées, les dépouilles des Eshununnéens dévalant les pentes[17] menant aux tranchées où étaient entassés les Élamites mutilés, produisaient de merveilleux effets de percussion. Nargataglidul composa ainsi une série de morceaux accompagnant le travail des bourreaux. Ce qui rendit les séances de tortures beaucoup plus agréables, car, après tout, la musique[13] adoucit les mœurs.
    Un exemple de scutigère en bas de page.
  14. La fin de cette phrase tendrait à prouver qu'il s'agit là de billevesées[9], et que ces affirmations doivent être prises avec la plus grande prudence, car tout le monde sait que ce sont les esquimaux[28] qui vivent dans des igloos, et pas les papous[28]. D'un autre côté, comme le soulignait le savant et philosophe irlandais De Selby, « pourquoi ne serait-ce pas plutôt les affirmations déclarant que les esquimaux vivent dans les iglous qui sont fausses ? »
  15. Arthropode myriapode, la scutigère est un membre relativement bien classé de la liste des choses qu'on n'aimerait pas avoir dans son slip[16].
  16. Cette liste a été établie par le scientifique et penseur irlandais[28] De Selby dans son ouvrage Les putains de listes pour les nuls. Il y a peu de choses à faire en Irlande.[11]
  17. Notez[1] que l'expression "être sur la mauvaise pente" transcrit la position d'un individu qui se rend compte qu'à chaque fois qu'il écrit une note[1] en bas de page[2], il écrit suffisamment de mots que pour générer encore plus de notes[1] en bas de page.[21]
  18. La mort fut inventée au XVIéme avant J.C. par le roi babylonien[12] Nargataglidul. Avant, on ne mourrait pas, on restait là à sécher et devenir tout sec jusqu'au moment où, érodé par les vents, on se décomposait en petits morceaux et qu'on avait alors l'air con[36]. La mort[18], de par ses nombreuses possibilités (allant de l'assassinat politique à l'accident de roulette[31] à pizza), eut beaucoup de succès.
    Un exemple d'Alexandre III en bas de page.
  19. À vrai dire, il s'agirait principale de la région Papua, incluant Milne Bay composée de nombreuses iles que les notes[1] sauvages auraient colonisées peu après la découverte du pédalo[40].
  20. Cela n'a rien à voir, mais la pizza fut introduite à la cour du Tsar Alexandre III par Vladimir Kotiolov, père de Youri et Gennadiy Kotiolov. Vladimir fut aussitôt condamné à mort[18]: les pizzas étaient froides, et il avait oublié la roulette[31] à découper.
  21. Cette note[1] en bas de page[2] fait directement référence à l'auteur de cet article[26]. L'auteur parle donc de lui-même. Ainsi, on pourrait ensuite notifier cette note[1] en déclarant qu'elle parle de l'auteur parlant de lui. Puis, la note[1] résultante comme parlant de l'auteur déclarant qu'il parle de lui-même, puis la note[1] ainsi générée comme étant une note[1] qui parle de l'auteur qui parle de l'auteur qui parle de l'auteur. On pourrait ainsi itérer à l'infini. Mais là, j'ai rendez-vous chez le médecin[34] pour soigner cette grosse tumeur à mon cervelet.
  22. Il s'agit d'une interjection exprimant la perplexité et l'embarras[33]. Par exemple: "Hum, je viens de trancher la tête de Gontran Blubuch avec ce hareng[35].".
  23. Contrairement au texte de base qui se révèle souvent informel, la note[1] en bas de page[2] peut se permettre de s'adresser directement au lecteur. Ce qui me permet de rappeler à Raymond qu'on va manger chez Sophie mardi avec François.[29]
  24. La ville de Parme est une ville italienne célèbre pour son jambon. Comme le disait Gontran Blubuch: « Le parmesan, c'est cool »[20].
    Un exemple de camembert en bas de page.
  25. Cette phrase russe, traduite en français, signifie "ta mère baise des rennes"... Hé ! Enculés !
  26. Ce mois-ci, à l'achat de deux articles de sport sur la sencyclopédie, on vous offre un camembert Coeur-de-Lion que j'ai acheté jeudi passé au Champion.
  27. L'intérêt de faire des notes[1] en bas de page[2] qui ne correspondent à aucune référence dans le texte est qu'en principe, personne ne les lira. On peut ainsi soulager sa conscience en toute tranquillité et à peu de frais[37]. Par exemple, je peux enfin avouer que tout les jeudi après-midi, sur le parking du Champion, je trompe ma femme avec un camembert Coeur-de-Lion. Aaah, ça fait du bien (de soulager sa confiance, hein, pas de tromper sa femme avec un produit laitier).
  28. Peuplade jadis puissante, composée de fiers et farouches guerriers, elle dut son déclin à la suite de la terrible invasion, au XVIéme siècle avant J.C., par le roi babylonien[12] Nargataglidul. Celui-ci en profita pour perfectionner ses techniques d'empalage sur tisonnier[32] chauffé à blanc et de pendaison par tripes[30].
  29. Enfin, si j'ai terminé cet article[26] d'ici là. Hum[22], il commence à faire sombre, ici, dans les fins fonds du bas de la page[2].
  30. Les tripes constituent les viscères comestibles d'un animal. Elles sont l'élément principal de la composition des andouilles, même si Gotran Bluguch proteste formellement.
  31. Composé d'un manche et d'un disque aiguisé, la roulette à pizza a pour but, dans la vie, de décomposer une pizza en parts peu ou prou égales[11]. Et bien, je m'aventure bien profondément dans les entrailles[30] de la notation en bas de page[2], il me semble. Certes, la progression devient difficile, les références s'entortillent dans tout les sens, les liens s'embrouillent et les notes[1] en bas de page[2] en sont à leur 4éme itération, mais la spéléologie textuelle est tellement enivrante.
  32. prout prout prout Glubuch prout prout prout Glubuch prout prout Gontran Glubuch prout prout prout Gontran Glubuch ... (x15)
  33. Cet état d'esprit se retrouve également chez l'écrivain qui, trop soucieux des détails, ajoute à l'infini des notes[1] en bas de page[2] aux notes[1] en bas de page.[21]
    Un exemple de hareng en bas de page.
  34. L'apport du penseur irlandais De Selby à la médecine ne fut pas négligeable. Dans son ouvrage De la trépanation comme traitement de l'ongle incarné, il propose de soigner la syphilis[39] en lui inoculant la gangrène et de soigner la gangrène en lui inoculant la syphilis[39].
  35. L'utilisation du hareng en tant d'arme blanche fut introduite lors de l'épisode du dimanche rouge, à Saint-Petersbourg par Youri Kotiolov. Malheureusement, il mourut noyé dans un bol de borchtch avant d'avoir put faire une victime.
  36. Cher ami lecteur, j'interromps cette note[1] pour vous informer[3] nous voici à la 5éme itération dans les entrailles du bas de la page[2]. Peu de spéléologues littéraires sont parvenus jusqu'ici. Autour de moi, tout est sombre et froid. Les lettres et les numéros[6] s'entre-mèlent, rendant ma progression de plus en plus difficile. Je remarque à l'instant qu'il m'est impossible de me souvenir de par quel côté je suis arrivé ici. Serait-ce la fin ?[38]
  37. En 1893, Gennadiy Kotiolov, alors mineur à Lipetsk, possédait dans ses poumons beaucoup d'argent. Ce qui fut très pratique, car il eut alors une remise très intéressante sur sa crémation funéraire.
  38. Ami lecteur, j'interromps cette note[1] pour vous[23] faire part de cette magnifique découverte, ici, dans les profondeurs des entrailles du fin fond du bas de la page[2]. Ici, sur quelques vétustes parois, je distingue des symboles[4] gravés de ce qui me semble être une main humaine. Oui, il s'agit de phrases. Il est écrit: « Auteur magnanime, arrête ici ta folie et rebrousse chemin ! Le cœur impénétrable du bas de la page contient des dangers dont tu n'as idées », et également, dans une autre écriture: « Oh mon Dieu ! Ils me suivent ! C'en est fini de moi ! Déjà, je perds tout mon sang ! Quelle folie de descendre aussi bas. Oh! Et leurs cris ! Leurs cris ! Mais ! Je les entends encore ! Oh non ! Aaaaarrg ! », ainsi que « pipe ou branlette, appelle Carla, au 0825 ... » (le reste des numéros[6] est malheureusement illisible). Je vais encore continuer un peu.[41]
  39. À propos de syphilis, notez[1] que, lors de son voyage en Europe, Gennadiy Kotiolov attrapa le "mal polonais" et ... Mais au fait, on s'en branle, des frères Kotiolov !
    Gennadiy Kotiolov : Pardon ! Voilà une remarque bien offensante pour notre famille !
    Youri Kotiolov : Exact. J'ose espérer que ce manque d'éducation sera réparé immédiatement.

    Oh ça va, hein, vos gueules, vous !

    Les frères Kotiolov : Aitisi nai poroja !

    Quoi ?[25]

    Un exemple de pedalo en bas de page.
  40. Inventé par le célèbre ingénieur irlandais De Selby, le pédalo[40] ne prit réellement son essor que lorsqu'on s'aperçut qu'il fonctionnait beaucoup mieux à la surface de l'eau que dans les verts pâturages irlandais.
  41. Je ... je ne sais pas si je vais pouvoir continuer plus loin. Je croyais m'être habitué à l'obscurité, mais la pénombre qui règne ici est absolue. Une chaleur moite et pénétrante a également fait son apparition. Et pourtant, j'ai l'étrange impression de ne pas être seul, d'être observé. Il y a une faible rumeur qui vient de ce côté. Il est de plus en plus difficile de progresser. J'entends de plus en plus de murmures autour de moi. Peut-être s'agit-il des âmes tourmentées des écrivains qui se sont aventuré ici avant moi. Tiens ! Le silence maintenant. Le silence ? Non, j'entends du bruit. Un bruit qui augmente doucement. Mais ? Serait-ce une troupe qui avance ? Et ces chants[13] ? Ne serait-ce point du ... du ... babylonien !? Mais ... hé ! Arrêtez ! Ne me touchez pas ! Hé ! Lâchez moi ! Non ! Non pas le tisonnier[32] chauffé à blanc ! Non ! Noooooooooon


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