Non à la violence

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« Quand je dis "violence", c'est "violence" ! »

Il y a parfois, rarement je le concède, mais occasionnellement quand même, des violences qu'il vaut mieux faire qu'écrire, et des deux options, je préfèrerais me suicider plutôt qu'en choisir une. Parmi celles-ci il y a l'humour "sencyclopédique", relativement neuf mais pourri au noyau.

Ne vous méprenez pas, moi-même je ne manque pas d'humour, je n'hésite pas à rire en société, même si ça me vaut un certain ridicule (par exemple à la blague « babi et baba sont sur un bateau, qui tombe à l'eau ? » que me raconte Paul-Henri, mon neveu de 5 ans). Mais avez-vous seulement pensé à nos enfants ? Pensez-vous sincèrement, au plus profond de votre cœur, que ces petits chérubins sont assez matures pour assimiler le choc de sous-cultures basées sur la discrimination, le racisme, la haine de la différence, la désinvolture et le jusque-boutisme complaisant ? Serez-vous jamais en paix avec votre âme quand ils reviendront vers vous, adultes et responsables, les yeux gonflés de reproches de les avoir laissés à la tentation de la corruption et de la déchéance, alors que le monde leur tendait les bras ? Et quand ils protègeront vos petits-enfants de votre sphère d'influence "néfaste" et "négationniste", ferez-vous le fier (la fière) avec ce sentiment d'être marginalisé(e), laissé(e) pour compte au petit coin des retraités indésirables ? Bienvenue dans la cruelle cohérence du monde.

Bas les masques

Je suis une "fan" de votre sencyclopédie. Chaque jour je lis une page de blagues sur les bébés morts, et je fais tourner la tête de mon patron quand il me voit m'esclaffer apparemment pour rien. Je dirais que dans la grande majorité, environ 95% de vos textes, l'humour est indéniable et au-dessus de la moyenne. Mais si l'on coupe les multiples écarts musclés faits au nom de l'humour, on se retrouve avec le fondement, le squelette du site, et alors la réalité paraît tout d'un coup beaucoup moins rose.

Prenons quelques exemples pour mesurer au mieux ma pensée.

Brigitte Bardot

Brigitte Bardot.

Ce texte est indubitablement très drôle, et réhausse par antiphrases l'image de la toujours très belle Brigitte. Mais si l'on enlève toutes les notes et remarques de nature comique, il ne reste plus que l'âne de Saint-Tropez, mort sur un coup du Sort jamais trop avide de tragédie. J'ose penser qu'il n'y a rien de plus morbide qu'un article dont le squelette est donné par celui d'un âne qui n'a jamais demandé plus que le Repos Éternel et sa sœur Dignité.


Hadolf Itler

HadolfItler

Ce texte est très drôle et mérite amplement sa place en Best Of. Cependant, si l'on omet les détails et autres annotations lui donnant son humour biographique génial pour lever les voiles obstructeurs de Lumière, on s'aperçoit d'un grand canular : on ne retient plus que la paix de la peinture du chef d'état, cette communion harmonieuse avec la Nature et ce sens de l'humilité devant la perfection de l'œuvre de Dieu. Or ce n'est pas ça le nazisme, je suis désolée. Le nazisme, c'est le plus grand crime jamais attenté contre l'Humanité. Or si l'on enlève l'humour ambiant, on perd cette donnée fondamentale qu'il faut lutter constamment contre ce virus, lutter pour ne plus répéter le cercle des crimes contre l'Humanité, lutter pour préserver la noblesse de l'Humanité, lutter pour l'égalité et la justice sociales, lutter pour faire de la Terre un endroit accueillant pour les extra-terrestres envahisseurs.


Kim Clijsters

Kim Clijsters.

Du début à la fin ce texte est très drôle. On voit tout de suite que l'auteur essaie de capitaliser sur le ridicule de la musique classique. C'est clair que Beethoven ou Mozart, de nos jours ça fait ringard. Mais l'article prend le point de vue orchestral sur la chose, ce qui est vraiment marrant. C'est clair que prendre le marteau du piano pour battre la caisse de résonance d'une contrebasse c'est super drôle. Ou encore jouer de la harpe en la grattant avec vigueur contre la tuyauterie d'un orgue. Hélas ! Trois fois hélas ! Remplacez la musique classique par du Tokio Hotel, et tout de suite on décèle nettement le projet d'exhiber la fadeur de la vie de Kim Clijsters. Ce n'est pas du tout sympa, et même limite diffamatoire de s'en prendre comme ça à d'honnêtes belges.


Musulman

Cet article est très drôle. Cependant, si l’humour était indubitablement purement raciste (il ne fait en effet que caricaturer le musulman en voleur, ce qui est bête, très bête), il suffit de retirer l’apparence super-héros et le quiproquo sur le verbe "voler" pour bien voir qu’il s’agit de racisme plus pur que pur (si c’est possible), et, comble du malaise, répété sur l' intégralité de l’article, puisque ce dernier ne fait que 5 lignes. Des enfants qui liraient ça seraient incités à devenir musulmans pour pouvoir voler dans les supermarchés ; mais alors quelle marque d'inculture, puisque le Coran garde justement de ce genre de comportements. La sencyclopédie a-t-elle pour vocation de transmettre de telles valeurs si évidemment erronées ??

CMJN

CMJN.

Ce texte est très drôle et divertit à sa façon de multiples manières. Mais procédons dans l'ordre, en éliminant d'abord l'humour jaune puis l'humour noir. Ne restent plus que l'humour cyan et l'humour magenta. Oublions-les pour les besoins de l'argumentation parce qu'ils me dépassent, ce qui tend à prouver l'humour accablant du texte. On voit alors clairement que l'article ne respecte plus son titre, un acronyme pour Cyan-Magenta-Jaune-Noir, qui alors n'est plus qu'un mot d'usage à part entière. Or cela s'apparente à s'y méprendre à la contraction initialement innocente de National-Socialisme en Nazisme, et regardez ce qui s'est passé. Eh bien je m'y méprends, et cela n'est pas du tout bon signe.


b0b0

B0b0.

Ce texte montre à quel point on peut être très drôle. Il raconte les aventure du désormais très célèbre b0b0, chez lui à Neuilly (c'est très drôle), et de ses romans dans le "dialecte mérovingien" qui fait fureur auprès des femmes. Malheureusement, tout l'humour se base entièrement sur la totalité du texte, et si l'on enlève tous les éléments de prose, il ressort une récurrence douloureuse de "Aïe". Ce n'est pas tant pour nous surprendre, vu le nom du protagoniste (un b0b0 peut en effet se lire comme une blessure bénigne), et on déduit facilement que ce texte n'est là que pour faire mal aux lecteurs, enfants et adultes compris.


Nihilisme

Plus subtilement qu'ailleurs, ce texte est très drôle. Mais si l'on supprime les quelques rares bordures, on voit parfaitement qu'il n'y a pas de texte. Juste une page blanche angoissante et faite pour nous rappeler le stress paralysant qui nous prenait à revers à l'occasion de ces contrôles de rédaction minutés au collège. Est-ce pour nous manipuler ? Mieux nous malléer pour nous rendre dociles à des fins anarchiques, peut-être bien.

Désencyclopédie:Accueil

Ce texte est, de façon très inattendue, très drôle. Je cite :

« Le contenu de ce site, le site lui-même, et les administrateurs du site, sont une immense parodie sans queue ni tête à la sexualité douteuse et à l'hygiène approximative. Si vous prenez au sérieux un traître mot de ce qui est écrit, vous êtes encore plus con que vous en avez l'air. »

C'est hilarant, j'en avais le souffle coupé, mais si vous enlevez ce texte, tout de suite le site dans sa totalité perd toute son innocence bourgeonnante, son élan naïvement et fraîchement projeté vers l'épanouissement de soi ("rester djeune" et "déconner" — oui ma petite fille me le rappelle tout le temps, alors je suis une mère au foyer dans le coup, voyez-vous). Comment voulez-vous que l'humour puisse régner si dès la page d'accueil vous dénoncez vos propres incohérences idéologiques, ou plutôt vos plans sournois.

Le cirque des "demandes d'effacement"

Scénario de base

Je suis on ne peut plus certaine que vos intentions sont bonnes et intègres. Du moins je l'ai pensé jusqu'à ce que je tombe sur l'archive des demandes d'effacement. Il est dans ma logique de penser que les bons principes naissent des bons esprits, ne serait-ce que parce que le bon engendre nécessairement le bon (oui, j'ai étudié Spinoza et Sartre). Mais pour ce cas précis c'est une caricature. Les propositions d'effacement les plus logiques rencontrent les résistances défensives les plus farouches, tellement qu'elles respirent la mauvaise foi. Mais le pire reste et demeure le manque pathétique de répondant des demandeurs d'effacement. Soit on les décourage si vite qu'on se demande comment en premier lieu ils ont pu s'élever au rang de censeurs publiques, soit on adopte le point de vue, plus plausible, que tout le protocole n'est en fait qu'une grotesque mascarade destinée à faire croire que le lecteur a voix de scrutin, et qu'en général la santé morale du site résulte d'un processus démocratique constant et contrôlé, alors qu'en fait tout descend de la manipulation hypocrite de "sysops" gouvernés par un "bureaucrate" nommé, oui, tenez-vous bien, "Ducon".

Du badinage avec la morale

Il y a une véritable cabale dirigée contre les utilisateurs de bonne foi au nom du "débat" (encore heureux que ce ne soit pas au nom de l' "humour"). On leur donne l'illusion de pouvoir s'impliquer pour mieux les poignarder en public ensuite. C'est totalement hilarant — excusez-moi la connotation péjorative que je confère au mot, une première sans doute, mais le contexte me l'autorise — aussi hilarant, disais-je, que de laisser agir ceux qui ont inventé le révisionnisme exprès pour lyncher ceux qui, naturellement, se sont élevés contre cette invention subversive. C'est comme un serial-killer qui, voulant tuer Anna (désolée, je déteste donner des lettres à des variables humaines) sans aucune raison, tue sa copine Béatrice afin de susciter la haine sanguinaire et vengeresse d'Anna, puis tue Anna par "auto-défense" et, grâce à ce stratagème, s'en sortirait à bon compte à l'issue de son procès. C'est aussi tordu que toute la modération du site qui semble graviter autour de ce genre de principes d'étouffement de ses visiteurs.

La mécanique de la violence

Schématique cérébrale

Notez que je ne parle pas de "mécanisme", mais bel et bien de "mécanique". Ce n'est pas un hasard si Stanley Kubrick a baptisé sa violente fresque cinématographique Orange mécanique plutôt qu'Orange mécanisme. On va me rétorquer que ce que je vais dire est tellement ridicule que je perdrai toute crédibilité, mais j'assume : autant orange mécanisme relève subliminalement de l'onanisme plutôt introvertif, autant Orange mécanique ne s'élève pas plus haut qu'un "Nique Monique". Ce rapport phonétique ne relève certainement pas du hasard, car il a été scientifiquement prouvé que la violence est dans un alignement fondamental, un rapport homothétique avec l'humour. La violence occupe en effet la zone d'effection motrice en surplomb de la nuque.

Que votre site soit si souvent et notoirement vandalisé par des "poneys" ne paraît plus si étonnant quand on considère, fort justement, votre haine des poneys. On pourrait presque dire que vous êtes victime de votre propre succès. Mais revenons à notre humour.

Le principe de l'humour vient en ce qu'il conforte une certaine façon de penser en décalage. Par conséquent, nos enfants seront toujours en décalage par rapport à la société et à l'exigence de la réalité, un concept pas seulement psychanalytique et théorique, mais aussi concrètement subi dans l'expérience de chacun, par exemple dans la notion de hors-jeu au football, qui sanctionne les décalages et protège le jeu de l'anarchie footballistique. Plus qu'une contrainte, cette exigence se mue en excès au jeu d'échecs avec le mouvement incompréhensiblement cahoteux et fourchu du poney. En fait, ce sont tous les créateurs et autre administrateurs de la sencyclopédie qui sont les poneys, plutôt que les défenseurs auto-proclamés (je souligne je souligne !) contre les poneys.

La question du racisme latent

Vous allez me répondre que les blagues racistes ne peuvent inciter les plus jeunes à la haine, l'intolérance, la discrimination, l'apartheid, la ségrégation, la périurbanisation, la marginalisation, le schisme, le rift, la fracture sociale, la sécession, la guerre, la déchirure, et surtout le racisme. Mais ne voyez-vous pas justement que la haine, l'intolérance, la discrimination, l'apartheid, la ségrégation, la périurbanisation, la marginalisation, le schisme, le rift, la fracture sociale, la sécession, la guerre, la déchirure, et surtout le racisme, désignent une seule et même chose : le racisme ??!! Il apparaît alors tout à fait évident que les blagues racistes incitent à tout cela et bien plus.

Mais laissons, voyons !!! Laissons les jeunes traiter leurs pairs de "chiens" !!! Ne soyons pas moralisateurs, au contraire !!! La sencyclopédie alimente le climat délétère avec le mécanigou de la violence, et elle aime ça apparemment.

Un problème mental

Un autre argument qui ne tient pas, ou plutôt qui tient trop bien : si ce n'était pas sencyclopédie, c'aurait été une autre source de violence qui l'aurait corrompu. Je noterai deux points dans ce raisonnement, ceux qui se trouvent entre "tient trop bien" et "si ce n'était pas sencyclopédie".

Mais plus encore, il y a l'aveu larvé d'être une source de violence dans l'expression "une autre source de violence". Parce que peut-être en cotôyez-vous beaucoup des phénomènes de société incitant à vivre racaille, voler la carte bleue d'étrangers, violer la langue française, voler des chaussettes, provoquer sciemment des naissances accidentelles, parler comme une pétasse ?

Je pense que tout vient d'un problème mental dont j'utilise ici le sens péjoratif couramment accepté : l'expression "dérangé mental" tient sa connotation péjorative non du mot "dérangé" mais du mot "mental". Accolez-le à un autre mot que dérangé, comme dans "névrosé mental" ou "fromage emmental" et l'on voit bien l'universalité de sa négativité. Nous avons vu la multiplicité de ce Janus protéinforme avec le problème imprimental de CMJN, qui fermente les rudiments du "black mental", du "death mental", du "doom mental", du "fromage émo-mental".

Mais analysons la violence elle-même. Dans violence, il y a "ence". Ça ne veut rien dire, et justement parce que ça ne veut rien dire, c'est violent. Parce que la violence n'a jamais rimé à rien. CQFD sine qua non

La violence passive-active-passive

En désinformant nos jeunes pousses, nous les incitons à rater leur scolarité et leur éducation, pourtant essentielle à un si jeune âge. Il n'est pas déraisonnable de penser que le futur adulte dépendra en grande partie du vécu de son enfance. En leur donnant une base aussi volontairement corrompue, nous ne leur faisons aucune faveur, au contraire. Nous les livrons littéralement à la criminalité en illicolissimo express recommandé. Ne rien faire, c'est aussi une forme de violence que l'on s'impose.

Quand l'enfant a épuisé le fonds sencyclopédique, il ne sait plus rien faire d'autre que lire des conneries. J'ai une amie belge quinquagénaire qui a justement regressé à ce stade là. Mais puisqu'il ne sait jamais lire que des conneries, il ne connaît que ça et ne peut pas écrire autre chose que ça par émulation ; il se met alors à pondre des articles douteux et se lit, entretenant un cercle vicieux où il lit pour écrire et écrit pour lire. Cette violence n'a pas de limite, ne converge pas. Au contraire, elle s'auto-amplifie, puis attaque les passants dans les rues, fait la razzia dans les rayons des supérettes, crée des gangs urbains à l'origine des tensions inter-claniques à Los Angeles. Elle fonctionne en courant alternatif : d'abord passive, puis active, puis passive, puis active. Voyelle, consonne, voyelle, consonne, voyelle, consonne. Oui, vous en faisiez des cauchemars des chiffres et des lettres, Laurent Romejkonsonne, Voyelle Boulin-Prat, ces calculs en série qu vous donnent la migraine, des tourbillons de lettres tournoyantes en pleine tempête de mer, René Bernard avec sa petite calculette de merde qui-sait-tout-avant-vous de l'académie française. Pas étonnant que vous vous serviez de telles images pour imposer votre violence, parce que vous êtes Vicieux, avec une grande Violence.

Les calembours

Pour moi, l'article Rire couronne sacrément la sencyclopédie, d'abord pour son humour sans compromis et pourtant dans les limites du correct (un exploit !), mais aussi pour son aspect symbolique, car quel autre article pourrait mieux résumer la sencyclopédie ?

Mais voilà, il y a un revers à toute médaille, et ici le revers reflète le mieux ce que représente la face. En effet, si Rire contient des jeux de mots brillants comme "Saviez-vous que U rit noir ? lol" (comme l'atteste sans ambiguïté la ponctuation finale), il ouvre la porte à de nombreuses dérives empruntées à la réalité de tous les jours, comme les caddies au supermarché, les tubes néon souples estampillés La guerre des étoiles, ou la marchandise parfaitement anodine, comme les bouteilles de marque Badoit. Ne prenons que cette dernière pour illustrer notre point, avec Rire comme modèle. Il suffit de décomposer le mot : « Bad... do it ». Et je complète pour vous : « If it's bad, do it ». Subliminalement, nos enfants vont apprendre à donner de la valeur à des messages banals et surmultiplier les brèches psychotiques conduisant à la fuite du contact avec la réalité, à l'ouverture de la boîte de Pandore, pur signal méphitique du Pandemonium de l'Apocalypse Boschien. Mais ici tout s'amplifie dans le fait que c'est Badoit, une violence qui ne cesse de pétiller. Il suffit de lire entre les bulles les bandes dessinées à violence graphique.

Mais ce n'est pas tout, un message aussi inoffensif tel que « erèm at ed luc el euqin » se lit à l'envers, et se comprend subliminalement comme « Nique le cul de ta mère », un véritable conseil d'orientation vers la débauche dont je vous épargne les détails d'autant plus sordides si la dite mère est déjà morte (de honte devant ce qu'est devenu son enfant !!!). Quel rapport avec l'humour me direz-vous ? Eh, bien innocemment quelque chose comme « ? uae'l à ebmot iuq, uaetab nu rus tnos abab te ibab » retourné à l'envers nous donne « babi et baba sont sur un bateau, qui tombe à l'eau ? », une blague dont l'humour a fait durablement ses preuves et la mienne par la même occasion (même racontée par Paul-Henri, 5 ans).

Appel à votre sagesse et votre compréhension

Ce que je demande, ce n'est pas la fin du monde. Je demande juste que la sencyclopédie lève enfin son masque de relative convivialité, et découvre son projet sous-jacent et avilissant de politique morale bien incarnée par certains de ses fourbes administrateurs (l'un d'eux en particulier se reconnaîtra dans ces lignes). Je demande que compte soit rendu sur l'élection plus que douteuse de Nicolas Sarkozy, dont le dégraissage de l'article correspondant me laisse à penser qu'il est un fort douteux, vile et ignoble personnage généaologiquement assez proche de Passe-Partout et d'Oussama Ben Laden. Le fait que la politique nucléaire de cet homme, d'origine hongroise je précise, soit aussi marrante implique totalement la sencyclopédie.

On utilise vos textes en Chine pour torturer les prisonniers culturels et politiques, je ne rigole pas, j'ai un ami expatrié là-bas 9 mois sur 12, et ce qu'il a vu ne fait pas plaisir à entendre dire. Il a notamment vu un tortionnaire raconter une blague sencyclopédique vaseuse tomber à l'eau, ce qui fait splossfffftttccchhhhhsss, ou bruitage équivalent peu connivent à l'oreille, vous en conviendrez (il y avait aussi selon lui le cri d'un mouton mêlé à des résonances aux timbres hippies).

En écrivant ce pamphlet, je n'ai pas fait de tempête dans un verre d'eau, mais j'ai secoué mon verre d'orangina parce que la pulpe, sinon, elle reste en bas. Inutile de préciser que j'en ai mis partout. MERCI BIEN SENCYCLOPEDIE.

PS

J'ai reçu des menaces de mort de la part de certains de vos lecteurs me conseillant de faire surveiller ma maison, parce que j'allais vite crever la tête au fond des chiottes avec mon hamster dedans, après avoir vu mon mari pendu et éviscéré vivant. J'ai trouvé cela très drôle, bien dans la ligne de la sencyclopédie (notamment sa politique d'effacement), mais malheureusement cela montre ici que l'humour peut avoir des effets de bord négatifs sur les autres (nommément mon mari, mon hamster et moi).

PS 2

J'espère que vous avez enlevé tout l'humour de cet article au fur et à mesure de la lecture, sinon il ne veut pas dire grand-chose.


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