Mircea Eliade

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Mircea Eliade est un historien des Balkans incontournable dans la pensée humaine. Né pas très loin du hameau de Kldospzrodejtisnova (Roumanie) en 1907, il mourut d’une balle perdue en allant acheter une baguette de pain à Chicago en 1986. Cet historien était professeur d’histoire, il rédigea des livres et eut des amis.

Son apport fondamental en histoire des religions

L’œuvre de Mircea Eliade est fondamentale – d’autres disent que non. Pour plus de précisions sur sa contribution capitale (ou pas) aux domaines de l’anthropologie et de l’histoire des religions, on se rapportera à l’article plus détaillé : Mircea Eliade.

Sa vie

Plusieurs de ces informations que nous tenons pour véridiques pourront certainement choquer les cœurs sensibles, en particulier les étudiantes en mythologie comparée qui avaient un faible pour Mircea Eliade. Nous les avons obtenues du grand journaliste reporter Ugo Pizzarazzi, celui-là même sur le pied duquel Britney Spears a roulé sans s’arrêter, ce qui est une preuve de qualité.

Selon certains, Mircea Eliade n’était autre que la célèbre chanteuse française Line Renaud après sa conversion surprise au jaïnisme sur la fin de sa vie. Selon d’autres, Mircea Eliade s’appelait en vérité Eliade Mircea mais il inversa l’ordre de son nom et de son prénom par pur souci esthétique.

On a prétendu que Mircea Eliade était membre du Parti National Breton, une branche secrète du Klu Klux Klan affiliée à l’Opus Dei, mais ces informations n’auraient normalement pas du filtrer. Monsieur Joël Bondoulieu affirme l’avoir vu un soir de fête du Beaujolais barbouiller sur le mur de la mairie « Le chamanisme est foutu », « Vive la Bretagne druidique », « La Bretagne aux Anthropologues », « Les Structuralistes dehors » mais c’était de nuit, l’homme était de dos et lui-même avait un coup dans le nez. Quoiqu’il en soit, cela semble être la preuve suffisante de l’accointance douteuse entre Mircea Eliade et ce mouvement terroriste, accointance qu’il prit soin de ne laisser jamais apparaître dans ses écrits.

D’ailleurs Mademoiselle Suzon Kerdedec, 56 ans, concierge à Brest, nous a rapporté personnellement qu’une fois Mircea Eliade (ou du moins quelqu’un de l’immeuble qui lui ressemblait) lui aurait dit : « Le PNB ? Je connais pas » mais d’un air assez louche.

Tout ceci peut paraître à première vue surprenant puisque Mircea Eliade n’a jamais résidé à Brest, ni en Bretagne d’ailleurs. D’une manière ou d’une autre, cela ne remet nullement en cause la fiabilité de fond de ces informations.

Bibliographie

  • Sur l'érotique mystique indienne, Paris, 1997.
  • La vie sexuelle de Gengis-Khan, Etudes comparatives sur la taille de l’organe mâle en Dacie et en Europe Orientale, Paris, 1979.
  • Le chamanisme et les techniques archaïques de l’extase, Paris 1992. Edition illustrée, fort bien documentée, avec en particulier des photos de chamans iakoutes pratiquant les techniques archaïques d’extase avec des poneys.

Sources

  • Troublantes communications personnelles à propos de mon voisin de palier Mircea Eliade, d’Ernest-François Zalibus (non encore publié).


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