Forum:VBO/Les Oiseaux

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Grade : BO

Le nominé | Retaper dessus

Votes Best Of

Pour

  1. ça commence doucement comme une gentille hyperbole cinémato-théâtre-antique puis les personnages prennent forme, l'histoire dérape et tout part en couille dans un immense délire maîtrisé avec des jeux de mots stupidement drôles et des saynètes hilarantes. Léger bémol sur les notes de bas de page dont certaines tombent un peu à plat et qui cassent le rythme (quand elles ne sont pas honteusement pompées sur celles de M. Sans-Gêne) WiiKend - Ceci était une signature 15 juillet 2009 à 21:38 (UTC)
  2. même s'il y a quelques passages très longs et pas franchement drôles, l'analogie est vraiment marrante et suit bien la trame du film sans facilité apparente. vous en saurez plus dans mon prochain livre : "Études sur l'humour avec des photos de ta mère à poil" --RTGH Pg d dscssn 16 juillet 2009 à 14:00 (UTC)
  3. le concept de l'article est bon, l'exploitation du concept est géniale et la parodie des textes grecs anciens tout pourris qu'on nous a fait lire au lycée dans notre enfance alors que la moitié des références sont désuètes voir incompréhensibles est excellente. --ΠR K(discussion) 18 juillet 2009 à 12:57 (UTC)
  4. Bel OVNI. -- Zalibus 23 juillet 2009 à 16:54 (UTC)
  5. Bel oiseau Bel oiseau Bel oiseau Bel oiseau aussi rare que son auteur --PTITGUILLAUME.pngAPPROUVE CE MESSAGE.png 27 juillet 2009 à 15:49 (UTC)
  6. du grand n'importe quoi qui monte en puissance pour exploser au final ! et pourtant on ne perd pas le fil et on se marre tout le long avec en prime une fin aussi frustrante que celle des oiseaux ! Papazianphile
  7. Je trouve ça énorme alors que j'ai même pas vu les oiseaux ! Tiennos - Répondeur 4 août 2009 à 10:05 (UTC)
  8. Pas vu les oiseaux non plus, et je me suis aussi bien marré. Du vrai bon n'importe quoi. --Erw 9 août 2009 à 13:33 (UTC)
  9. Changé d'avis. --Marie Irène - Une question ? décembre 17, 2009 à 20:05 (UTC)

Contre

  1. J'ai trouvé la première moitié quand même un peu longuette et j'étais content d'avoir les images qui amenaient joie à mon cœur desséché par ce texte un peu tristou. _ PatNuke ! - osef 18 juillet 2009 à 05:54 (UTC)
  2. un concept original (les oiseaux qui s'attaquent aux dieux), mais exploitation douteuse — THNOT admin | Votez ! | discu | mon livre d'or | 25 juillet 2009 à 15:01 (UTC)

Blanc + commentaires

  • Voir. Presque tout y est, avec en plus du théâtre contemporain qui fout le bordel au fur et à mesure. Bon article pour étudiants en arts du spectacle, mais moi j'ai fini par décrocher. --Marie Irène - Une question ? 9 août 2009 à 14:09 (UTC)

Critiques constructives

Chapô

Alfred Hitchcock et deux amis.

Les Oiseaux (The Birds en version originale) est un film américain réalisé par Alfred Hitchcock et sorti sur les écrans en mars 1963. Quarante-huitième long-métrage d'Hitchcock, il est considéré aujourd'hui comme un des films les plus aboutis de son œuvre, tant d'un point de vue technique qu'artistique.

Le film est une adaptation de la comédie d'Aristophane Les Oiseaux (Ορνιθες en version originale) écrite en 414 av. J.-C. et jouée pour la première fois la même année lors du Festival de Dionysos. Si Hitchcock s'était déjà essayé à la mise à l'écran d'une pièce de théâtre, notamment avec Le crime était presque parfait en 1954, son choix d'adapter une œuvre grecque antique surprit beaucoup, bien que le film fut décrit par la suite comme « un chef-d'œuvre d'horreur et de suspense derrière lequel transparaît, en filigrane, une satire acérée et fantaisiste de la société athénienne du cinquième siècle avant notre ère. »

Acte I, Scène 1

Pisthétaïros et Evelpidès, qui viennent de se rencontrer dans un magasin d'animaux à Athènes, décident de partir en week-end à Bodega Bay pour souhaiter bon anniversaire à La Huppe, ancien roi grec transformé en oiseau. Ils marchent donc vers Bodega Bay tout en devisant, plus ou moins guidés par un couple d'inséparables achetés à Athènes.

- Pisthétaïros : Oh là là, quelle misère ! Voilà près de quarante lieues que nous tournaillons ainsi sans arriver nulle part. Cela finira par me crever !