Ford

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Ford est une compagnie internationale distribuant des anabolisants, stéroïdes et autres produits de compétition sportive 100% naturels et sains (et légaux).

Fondée en 1916 par Boubacar Ford, l'entreprise connut une croissance féerique avant d'être entachée par divers scandaux[1] concernant de supposés effets secondaires et de devoir fermer par décision de justice en 2004. Entretemps, Ford s'impose à jamais comme une grande marque, marquant l'histoire du sport, et les générations se souviendront toujours de son célèbre slogan inchangé en 89 ans : Ford, c'est trop ford !

La Mengelette

Les prémices

C'est en 1915 que Mamadou Ford, immigré burundais au Québec et père de Boubacar, crée un petit stand de vente de boissons énergétiques à base de pisse de Caribou et de caca de Caribou. Il nomme sa PME "Pipicacaribou"[2] et se fait démonter à coups de poutine une semaine après son lancement par des racistes (à qui on pardonnera comme à Jules Verne et Pierre de Coubertin[3]). Notez que de toutes façons vu le nombre d'intoxications alimentaires dont furent victimes ses clients, ça allait pas traîner, il aurait fini au trou, où il se serait fait sodomiser par d'autres racistes, donc en fin de compte valait mieux que ça finisse comme ça.

Boubacar Ford sera d'ailleurs marqué par cette histoire, comme il le rapportera dans une interview vingt ans plus tard :

Mon papounet y'en a 'evenu couve't de f'omage et de f'ites, y'en a puer comme pas possib'. Lui y'en a di'e moi d'ailleu's : "Mon cher fiston, prends garde à cette société rétrogradiste et désabusée, fondée sur des principes obsolètes. Elle ne tardera point à évoluer vers des convictions mercantiles et capitalistes, que tu ne manqueras pas de saisir en avance." Et là mon pôpa y'en a donner moi billets pou' aller en F'ance. "Voici, fils, part, poursuis mon œuvre, fais fortune, et fais connaître le nom de Ford à travers toute l'Europe, ou, comme tu le dis si bien, l'Eu'ope." Moi y'en a donc pa'ti' pou' un pays inconnu à la langue ét'ange, un pays où y'en a p'ononcer les R.

C'est ainsi que Boubacar s'en alla, et fonda dès 1916 la compagnie Ford, selon les souhaits de son père qui mourut d'une allergie au Cheddar quelques jours après son départ.

Le nouveau produit de Ford

Suivez scrupuleusement votre prescription !

Boubacar était stupide, laid, dyslexique, et se prenait pour Baba de Astérix[4]. C'est donc tout naturellement qu'il demande de l'aide à son employeur, Karl Mengele, qui profite du fait que l'entreprise ne soit pas à son nom pour vendre son nouveau produit jusqu'alors testé uniquement sur des crapauds-buffle, la "Mengelette", léger stéroïde anabolisant à base de testicules de crapaud-buffle. Karl tenait en effet une pharmacie (où Boubacar était videur[5], y a pas de p'tits boulots) à Rantigny et s'adonnait de temps en temps à ses propres recherches. Nul ne sut jamais d'où lui vint l'idée d'utiliser du jus de couille de batracien pour améliorer les compétences sportives d'honnêtes gens.

Quoi qu'il en soit, la Mengelette fut un succès, et tous les gentilshommes en consommaient régulièrement afin d'accroître leurs capacités sportives et faciliter leurs activités de tous les jours. Devant l'immense succès du produit, et sous les conseils d'un certain Adolf, peintre allemand en visite en France, Boubacar assassine Karl et s'enfuit avec la recette du produit et la recette de l'entreprise. Le petit Josef[6], fils de Karl, ayant surpris le meurtre par étouffement au crapaud-buffle, en gardera une rancœur contre à peu près tout le monde, et rejoindra Adolf lors de son retour en Allemagne, avec qui il se liera d'ailleurs d'amitié. Il se promettra alors de se venger des noirs et des français en général, car il était un peu con, et se retrouvera embrigadé par les idées bouddhistes de son compagnon de voyage[7].

Ça a l'air de rien comme ça mais c'est important pour la suite.

L'implantation à Toulouse

Ford Inc.

Boubacar s'enfuit à Toulouse, parce que ça nous permetteura de nous moquer ung petit peuheu de l'accengue du pays, pitain, èngkilé. Époustouflés par le récit du jeune Burundo-Canadien, les investisseurs se jetèrent sur lui (au sens figuré, hu hu) et prirent en main son entreprise, lui laissant une part de 10% sur tous les bénéfices. Le succès ne se fit pas attendre, et le produit, renommé en "Boubaquette", se vendra à mille flacons par jour[8]. Mais le jeune Ford est déçu d'avoir si peu d'appui sur sa propre entreprise, et, sous ses menaces de meurtres, on le laissa choisir le slogan nécessaire à la nouvelle campagne de pub en cours.

Ford, c'est trop ford !

—Boubacar Ford, le 17 mai 1920

Six heures s'écoulèrent, durant lesquelles les publicitaires tentaient vainement de faire comprendre au pauvre dyslexique que "fort", ben ça prenait un t. S'ils avaient été modernes, ils auraient su que c'était bien plus efficace comme ça. Mais la plupart s'étaient pris des morceaux de shrapnel dans le cerveau deux années plus tôt.

Les ennuis vinrent l'année suivante. Le dix-sept septembre 1921, les usines tournaient à plein régime, tuant des millions de crapauds-buffles par jour. Des connards d'écolos qui feraient mieux de crever rapportèrent ce massacre au gouvernement qui fit fermer les usines. Alors là vous allez me dire ; "mais l'écologie on s'en foutait en 1921 !", ce à quoi je répondrais ; "eh oh tu t'es vu ? T'as vu ta gueule ? T'as vu la taille de ton pif ? T'as vu comme je suis beau ? Alors d'où tu te la ramènes, retourne te cacher dans ta grotte au lieu de faire saigner mes yeux en m'imposant la vue de ton corps maudit par Pluton et ses galopins démoniaques !" et vous serez bien blousé.

Le procès de Michel-Jacques Marcel

Avec Boubaquette/Sans Boubaquette

Le 25 octobre 1922, peu après la fermeture des usines, une autre broutille vint tenter d'entacher l'histoire de l'entreprise. Michel-Jacques Marcel, grand consommateur de Boubaquette, avait tué à mains nues sa femme et son chien, et pour éviter la prison avait tenté de faire porter le chapeau à Ford pour éviter la taule. Voici le récit du procès.



"La parole est à l'accusation[9].

— Merci, monsieur le juge. Eh bien pour dire vrai, j'adore la Boubaquette, et j'en consomme régulièrement. Mais j'ai observé des changements dans mon comportement, je devenais irascible, nerveux... J'ai vraiment pété une durite quand ma femme a oublié de saler les nouilles lors de notre dernier dîner tous les deux. Je... Je me suis vengé sur elle et sur Thaumasnot, notre chien. Euh, voilà, c'est tout. J'ai pas les moyens de me payer un avocat.

Merci, monsieur Marcel. La parole est à la défense[10]. Maître Pandanlag ?

— Merci votre honneur. J'aimerais poser quelques questions à monsieur Marcel. Monsieur Marcel, n'est-il pas vrai, que, comme tout le monde, il vous arrive d'être nerveux ?
— Eh bien, oui, j'imagine que le travail me stresse un petit peu des f...
— LE TRAVAIL LE STRESSE UN PETIT PEU ! IL LUI ARRIVE DE S'ÉNERVER ! BLA BLA BLA POUIC POUET PROUT PROUT CADÈRE ! Messieurs-dames les jurés, voici la preuve de la culpabilité de notre homme. Il ne peut s'en prendre qu'à lui-même. Il est NERVEUX.
— J'ai jamais dit ça, c'est juste que des fois, ben je suis un peu grognon.
— UN PEU GROGNON ! HA HA HA HA HA HA ! FALADILALA GNOK GNOK ! Dois-je vous rappeler les faits ? À cause d'un simple oubli de sel dans les nouilles, voilà-t-y pas que vous vous saisissez de votre collection de timbres, et que vous aplatissez votre chien avec ? Puis, que vous prenez votre Bible et fracassez le crâne de votre femme ? Et qu'enfin, comme si cela ne suffisait pas, détruisez votre collection de maquettes à l'aide d'une boîte de verveine en feuilles ? Vous moquez-vous de ce tribunal, monsieur Marcel ?
— Bouhouhouuuuu ! J'l'ai pô fait exprès !
— Ce sera tout.

Merci maître. Michel-Jacques Marcel sera pendu demain à l'aube."

Le Ford T

Face au Krach

Petit petit... Gnéhéhéhé

Le comité d'entreprise dût vite chercher un moyen de se renouveler. Ils engagèrent quelques chercheurs qui trouvèrent la solution : de l'extrait de couille de chien andalou. Ce nouveau produit se vit qualifié de Ford Trop ford (une idée de Boubacar) et commercialisé dans les plus brefs délais. Mais la crise de 1929 approchait à grand pas, et là vous, fidèle lecteur un peu poilu, vous dites "Mais ! Comment ce brave mais stupide Boubacar va-t-il faire pour s'en sortir ?"

Eh bien Boubacar, qui décidément lisait trop de bandes dessinées, décida de faire appel à une voyante. Cette dernière prédit le krach, ce qui amena le (maintenant vieux) Ford à prévenir son staff, qui n'en crut pas un mot. Fou de colère qu'on ne le prenait pas au sérieux, il s'escrima à péter la gueule à tous les employés[11] de façon à ce qu'on l'écoute. L'année 1927 fut consacrée à une restriction des activités, à un rachat des actions de la société et à des licenciements. La somme astronomique de deux personnes furent virées, étant donné que 1 200 étaient mortes de suite de leurs blessures causées par les méthodes légèrement brutales du PDG. Le krach eut lieu, l'entreprise survécut, et la vente de Ford T continua de plus belle, contribuant à la disparition des chiens andalous (auxquels un espèce de psychopathe consacrera un film insensé).

Le scandale de Michel Tison

Michel Tison, célèbre boxeur parkinsonien, se fait arrêter en 1933 pour avoir tué à mains nues son coach, Kon Ding, le veille d'un match pour le titre.

Le 2 juillet de cette année, il se saisit de ses gants de boxe, et les enroule autour de la jambe gauche de son entraîneur. Il maintient ensuite les gants contre un mur en les clouant grâce à un piquet de tente. Puis, l'infortuné business man ainsi bloqué, Michel lui arrache le bras gauche à la seule force de ses paluches, et le plante dans l'estomac de la victime. Enfin, il se saisit d'une porte de casier, et tranche sa tête, qu'il récupère et cache dans son caleçon. Il s'en saisit ensuite pendant le match et la lance contre le vendeur de beignets de la salle qui disait alors :


"Beignets ! Beignets chauds ! Qui veut des beignets chaAAAAAAAAAAA !"


Le champion justifiera son geste en disant :


"JE HAIS LES BEIGNETS !"


Puis justifiera le meurtre de Kon Ding en disant :


"IL VOULAIT QUE JE METTE DES GANTS BLEUS, ABSOLUMENT PAS ASSORTIS À MES YEUX ! MOI JE VOULAIS METTRE CEUX ROUGES !"

Ford corp. ne fut que légèrement atteinte, le boxeur étant connu comme déjà légèrement nerveux. Mais cela leur fit une légère contrepub : ils voulurent alors créer un nouveau produit, et délocalisèrent en Allemagne, où une espèce de révolution scientifique et culturelle était en train d'avoir lieu.

Le GT Turbo

Les retrouvailles

FAUT PAS FAIRE CHIER BOUBACAR ! (qui ne consomme pas ses propres produits, rappelons-le)

La petite troupe débarque en Allemagne le premier février 1933. Ils sont tout de suite séduits par l'ordre qui y règne alors, et rendent visite à leurs bureaux à Berlin. Ce qu'ils ne savent pas, c'est que Josef Mengele (voir plus haut) a gardé une rancune contre Ford. Entravant la politique d'expansion économique d'alors, il tente d'assassiner Boubacar, mais se fait taillader la tronche par les ongles de ce dernier, qui est, ne l'oublions pas, une force de la nature[12]. Défiguré, Mengele quitte les SA en prétextant des raisons de santé, mais en fait il était juste un peu bougon, il reviendra.

Ce que le groupe ne savait pas non plus, c'est qu'Adolf Hitler, alors chancelier, était tombé amoureux de Boubacar lors de leur entrevue dix ans plus tôt. Il le fait donc demander dans son bureau, et les retrouvailles sont narrées dans la biographie-fiction "Ford, une vie, une oeuvre, pas mal de cadavres", de Sékou Ford, arrière-petit fils de Boubacar.

Adolf, les bras grands ouverts, accueille mon bisaïeul et lui propose de s'asseoir. Ils discutent lentement et longuement de choses et d'autres. Boubacar ne voit rien venir. Hitler le bouffe des yeux. Il se retient une heure, puis n'y tient plus et se jette sur l'infortuné homme d'affaires. Il lui arrache le chemisier et commence à lui lécher le mamelon avec délice et avidité, avant de se faire traiter de sale pédé de me'de et de se prendre une patate digne de Gulliver sous cocaïne à Lilliput. Le nazi voltige, et se ramasse sur une commode, avant de se relever la bouche édentée et le faciès couvert d'échardes. Boubacar, regrettant son geste, se dirige vers son violeur et le console, le nabot sanglotant sur son chemisier dépareillé. Puis, Adolf humant l'odeur virile de sueur canadienne entre les pectoraux de son amour à sens unique, se laisse aller et se saisit du chibre du grand noir. Ce dernier lui attrape la moustache et entreprend de le défenestrer, avant de s'enfuir en courant.

—Chapitre 7, "Boubacar le grand"


Un tout petit obstacle

Le GT Turbo est crée (acronyme de Gut Truc Turbo, une idée de Boubacar qui s'essayait à l'allemand) à base de couilles d'aigle royal. L'animal ne permettant l'extraction que de peu de nectar, le prix fut augmenté et ces gros connards de nazis les allemands plutôt aisés se les arrachèrent à prix d'or (les GT Turbo, pas les couilles). Mais voilà, la vie avance, et avec, son train de petits problèmes, comme, boarf, une petite guerre mondiale peut-être ?

Hitler décida donc de privatiser Ford et ne nourrit plus que ses propres soldats à l'extrait de couille d'aigle royale, en faisant des machines de guerre. Ladite guerre commençant à tourner court, le chancelier augmenta encore les doses, et les majestueux oiseaux disparurent de Prusse, en ayant marre de se faire constamment piquer les burnes à la seringue sale pour qu'on les branle par intraveineuse. Affolé de découvrir qu'il restait très peu du précieux jus, Adolf les garda pour lui-même et s'en baffrera pendant quelques années. Enfin, un jour, dans son bunker, il péta un gros câble, et se saisit d'un tabouret qu'il usa pour frapper à trois reprises la pauvre petite conne d'Eva Braun avant de se saisir de son brassard nazi et de l'enfoncer dans la gorge de sa soi-disant bien-aimée. Enfin, il s'arracha la mèche et brisa la nuque de sa victime en serrant très fort avec autour de son cou. Enfin, il s'enfuit et vécut dans la cité de Dieu au Brésil où il passa le reste de sa vie à faire le technicien de surface, avant de mourir de la syphilis contractée en ayant des relations sexuelles avec Rodrigo, le violeur de la favela[13].

La guerre finie, Boubacar et ses potes, qui s'en étaient mis plein les poches, retournèrent en France. Hélas, le GT Turbo avait maintenant l'image du nazisme accrochée, et ils avaient pour objectif à très court terme de trouver un nouvel animal...

L'Overbomboka

Le successeur

En 1946, Boubacar était désormais âgé de 50 ans et devenait sénile, voyant des pi'ates partout. Il se dit qu'il se devra de choisir un héritier, n'ayant toujours pas compris qu'il était un poids pour la boîte. Il déclara un jour à ses actionnaires qu'il allait élire son fils, qu'il n'avait pas[14]. Alors, un des actionnaires, sacrément rigolo, se déguisa en noir et prit l'accent québécois pour se faire passer pour le fils Ford. Son "père" crut ainsi avoir comme fils Bomboka Ford, 58 ans, père de trois enfants, avec le visage qui coule, et mourut heureux, à l'âge de 62 ans, en 1958, d'une hémorragie. Il s'était en effet tranché les pieds à la hache en tentant de saborder son navi'e (son appartement en réalité), croyant avoir vu "Les gogo... Les gogo... Les gaulois !". Les médecins ne réussirent pas à attraper Boubacar afin de lui faire un bandage, ce dernier courant partout pour échapper au "g'os monst'ueux gavé de potion magique".

Mais l'annonce du passage de main provoqua une réduction de la fidélité à la marque, les consommateurs d'avant-guerre se rappelant de l'image joviale du joyeux mais benêt canadien. Jean Plancton dût donc assumer le rôle de Bomboka Ford jusqu'à la fin de ses jours, et l'on nomma la nouvelle potion aux extraits de couilles de buffle l'"Overbomboka" (l'anglais étant populaire à l'époque suite à la libération).

Ford aurait pu faire des mustangs, mais à la place vidèrent des couilles de poney.

La super méga fête !

En 1966, pour fêter le demi-siècle d'existence de la compagnie, et la vente de la milliardième capsule d'anabolisant, une grande fête eut lieu à l'hôtel Ford en plein Paris. Jean Plancton, alias Bombaka Ford, gavé lui aussi à l'overbombaka mais âge de 78 ans, fut prié de faire un discours. En extrême état de fatigue, il déclare ce qui suit :

Mes ch... chers amis, chers consommateurs. Reuaaah... Je, je, oui, je suis Bombaka Ford. Et j'en suis fier. Cela fait vingt ans que je dirige cette compagnie, et, comme l'avait souhaité le gros nèg... Mon père, elle est connue de part le monde. C'est une victoire quasiment sportive. (applaudissements) A... Arrêtez d'applaudir s'il vous plaît, je commence à avoir des vertiges. Quelqu'un a un verre d'eau ? Rah, mais non, pas sur mon pantalon ! SOMBRE BUSE !

Vert de colère, Jean Plancton se saisit de son télétexte et explose la tête de son assistante. Hurlant, il se jette dans la foule apeurée et massacre deux personnes en leur heurtant violemment la tête l'une contre l'autre. Il se sert d'un des cadavres et le fait tourner à dix mille tours par seconde, le faisant exploser, ses morceaux d'os projetés aux alentours et atteignant aux parties vitales une dizaine d'hommes. Il attrape ensuite une des colonnes décoratives et l'abat sur la foule. Il fallut dix cartouches complètes de .45 Magnum pour mettre fin à l'horreur.

Il sera ensuite guillotiné pour "carnage avec violence et coups et blessures".

La perte puis la stabilité

L'animal miracle

Suite à l'incident, il fallut à nouveau changer de produit phare. Ce fut chose faite, avec de l'extrait de couille d'éléphant. À son tour, le nouveau PDG, Marc Mortepoil, devint Mobuka-Mpanze Ford, et profita d'un petit évènement pour lancer le Mégaroïde-Mpanze.

C'est en 1968, aux environs de mai, qu'eut lieu une espèce de manifestation pleine de jeunes, qui se revendiquaient libres, adultes, drogués, pédés et intelligents. Ford sauta sur l'occasion et fit en sorte que leur nouvel anabolisant devienne courant et même nécessaire parmi la population étudiante. Gavés au Mégaroïde-Mpanze, la révolte fut lancée et les jeunes obtinrent leurs droits.

Ce fait mit même le LSD en illégalité, le gouvernement découvrant que le mixage des produits produits faisait couler le cerveau par les oreilles. Symbole de la lutte contre la dépendance à la drogue, Ford gagna de plus les bonnes grâces de l'état. S'ensuivirent trente ans de prospérité.

Nzuzi Ford le connard

Qui qu'en veut !?

En 1998, eut lieu un nouvel incident. Nzuzi Ford, alors nouveau président, succédant à Mbenga et Nkumu Ford, failli à la règle d'or du directorat : il consomma abusivement du Mégaroïde-Mpanze. Et ce qui devait arriver arriva. Nous vous passerons les détails...


...de ce qui déclencha sa colère, par contre vous ne raterez pas une miette du massacre sanglant ! Alors il commença par enfoncer ses doigts dans les orbites d'un de ses actionnaires, et l'envoya valdinguer par la fenêtre, le bureau étant au 50ème étage. Arracha par la suite la mâchoire du responsable de la sécurité avant de la lui bloquer dans le foie. Il se saisit par la suite de la table de réunion et en usa pour foutre des baffes phénoménales à tous ses collègues. Il sauta par la suite par la fenêtre, atterrissant sur un bus de touristes. Il se saisit du chauffeur et l'écartela, et fit de même avec tous les japonais du bus. Il se stoppa lorsqu'il eut une crise cardiaque provoquée par l'abus de ses propres produits.

La chute

Pendant quatre ans, l'entreprise batailla pour trouver un nouveau produit, tentant de quitter l'image de Nzuzi Ford et du "Carnage des Champs-Elysées"[15]. Ils crurent trouver la solution avec la couille de Tyrannosaure Rex cloné, mais l'entreprise fut fermée, le 25 août 2004, quatre jours après l'explosion simultanée de tous les anciens consommateurs de Mégaroïde-Mpanza, l'organisme ne supportant pas d'être sevré plus de cinq ans.

Ainsi prit fin la superbe épopée de l'entreprise Ford.

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La nana aux cheveux bleus dit :
Ils resteront toujours dans nos cœurs ! Ford, c'est trop ford !



Références

  1. Pluriel de scandale.
  2. Mamadou aimait les jeux de mots.
  3. C'était en accord avec leur temps, z'aviez oublié ?
  4. Encore un superbe exemple d'intégration. Un noir dans une bédé belge, c'est beau.
  5. Les français ont peur du noir, c'est bien connu.
  6. Lui aussi passionné de médecine.
  7. Notez que ce dernier ne restera pas bouddhiste très longtemps. Il en retiendra juste les symboles.
  8. Seringues vendues séparément.
  9. Ou un truc dans le genre.
  10. Ouais là je suis sûr que c'est ça
  11. 2 500 personnes réparties dans trois pays.
  12. Qui ne se coupe jamais les ongles, accessoirement.
  13. Comment je sais tout ça, hein ? Je suis le narrateur espèce d'abruti.
  14. Car Boubacar n'avait jamais compris qu'il fallait mettre le zizi dans la chatte, et non pas dans la narine.
  15. Nom donné à l'époque.


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