Apopathodiaphulatophobie

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« WOAH, UMMH, Let it, let it go! OH! WAAAAOOOH! This pain down inside, Just won't let me be satisfied Let it go! SPLASH!!! SPSHHH... »
~ Screamin'Jay Hawkins à propos de la véritable souffrance.


Selle moyenne d'un apopathodiaphulatophobe.

L'apopathodiaphulatophobie est une peur peu connue, mais très répandue chez les déviants sexuels adeptes de la coprophilie. Communément désignée par la simplette expression "peur de la constipation", cette phobie pousse sa victime à déféquer compulsivement, peu importe l'endroit où elle se trouve. L'apopathodiaphulatophobe ponctue ainsi ses journées d'anormalement nombreuses mais très petites selles, qu'il se force à produire pour s'assurer de l'éternel bon fonctionnement de son système excréteur. On estime que l'apopathodiaphulatophobe moyen génère un étonnant 12,75 kg de selles par jour, total qu'il divise à sa guise entre ses 45 à 60 déféquations quotidiennes.

Historique

Seule photo répertoriée du jeune Hector Blackburn.

Le premier cas d'apopathodiaphulatophobie répertorié au Québec fut celui du petit Hector Blackburn, le 17 juillet 1767 dans une ferme quelque part en Estrie. Fils de Gédéon Blackburn, cultivateur et fondateur de Coaticook, et d'Annette Robillard, fidèle femme au foyer, le petit Hector fut dès son plus jeune âge utilisé comme source d'engrais. Le père Blackburn, trop pauvre pour s'acheter des porcs à fumier, décida en effet d'élever son fils de façon à ce que ce dernier puisse fournir le purin nécessaire à la fertilisation des terres. Ce stratagème surprenamment économique fonctionna à merveille pendant les trois premiers mois, jusqu'au moment où le jeune Hector - qui était entre-temps devenu la coqueluche du village grâce à ses facultés excrétrices enviées de tous - commença à faire des cauchemars dans lesquels il était pris de violentes constipations. Profondément troublé par ces songes qu'il craignait prémonitoires, Hector Blackburn (dit "l'usine à pommes de route") se mit à déféquer en tous temps, au grand malheur de ses parents qui virent à la fois leur nouvel ensemble de salon souillé et leurs récoltes diminuer, les précieuses selles de leur fils n'étant plus destinées à un usage exclusivement fertilisateur.

Symptômes

L'apopathodiaphulatophobie peut frapper à n'importe quel âge et ce peu importe les antécédents constipatoires de la victime. Si jamais vous soupçonnez l'une de vos connaissances de souffrir de cette phobie à un quelconque degré, ou que vous pensez souffrir de cette phobie, cherchez à remarquer chez elle, ou sur vous, l'un de ces symptômes/comportements suivants :

  • Facilité anormale à localiser les toilettes dans les endroits publics
  • Énorme consommation de café
  • Sous-vêtements constamment souillés
  • Panique devant les files d'attente pour les toilettes

Comment éviter l'apopathodiaphulatophobie

Selle normale

Apopathodiaphulatophobes célèbres

Bien que l'apopathodiaphulatophobie soit toujours considéré comme un sujet tabou dans les médias d'Amérique, certaines personnalités ont ouvertement manifesté leur maladive peur de la constipation. Parmi elles, notons:

Que faire face à une crise d'apopathodiaphulatophobie

À compléter

Tout d'abord, il faut rester calme car l'énervement accentue la crise et la tendance un générer une quantité impressionnante d'excréments (jusqu'à 20 kg).

Il faut prévoir une façon de se rassurer phonétiquement ; par exemple, se convaincre que la quantité de nourriture ingurgitée durant la journée est nettement insuffisante pour engendrer la constipation. On peut également tenter de vaincre sa phobie en plusieurs étapes ; on se retient de déféquer pendant un certain temps puis on se rend calmement aux WC pour voir à sa grande surprise que l'on est pas constipé. Les étapes suivantes consistent alors à accroître ce laps de temps.

Mais gare à ceux qui se retiennent trop longtemps et qui pourraient se retrouver véritablement constipés et créer ainsi dans leur subconscient un T.O.C. (trouble obsessionnel compulsif) qui les amèneraient à déféquer de plus belle.

Une autre solution consisterait en une alimentation extra-digestive sous forme de baxter ou de jus de pruneau ; cette pratique a l'avantage de supprimer toute trace d'excréments du corps de l'individu. Néanmoins le sujet ne dispose plus d'aucun signe du bon fonctionnement de son système digestif et excrétoire. L'individu développe alors une phobie: le fait de ne pouvoir extraire la moindre trace de nourriture ,salée ou pas, avalée au cours de la journée, se traduisant par de fortes nervosités allemande et inquiétudes concernant son système digestif.

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