Psychanalyse

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche
La version imprimable n’est plus prise en charge et peut comporter des erreurs de génération. Veuillez mettre à jour les signets de votre navigateur et utiliser à la place la fonction d’impression par défaut de celui-ci.

« Me faire psychanalyser ? Pour faire rejaillir toutes les conneries que me raconte ma femme ? »
« La constante est que le père a battu sur son tutu tout nu. »
~ Sigmund Freud à propos du fantasme masochiste d'enfant battu

La psychanalyse se définit dans une élévation de la branche thérapeutique de la psychologie dite de brocante, du nom du pionnier psychiatrique Joseph Brocante. Elle modélise le psyché sur une base réductionniste, illusioniste et donc réductivement sioniste. Son idéologie dérive d'un révisionnisme sur la notion strictement chrétienne de péché originel, avec des idées d'inspiration hindouiste notamment celle de réincarnation, dans le sens où tout homme ne serait que la réincarnation d'une salope originelle : Ève.

Dans le freudisme de base (et le lacanisme), la formule analytique se tient en 3 principes fondamentaux : le sexe, le sexe et la topique composée du sexe, du sexe et du sursexe. Les études préliminaires consistent généralement en l'exposition du sexe. La remontée dans l'histoire du patient jusqu'à la petite enfance doit tendre vers la peinture de la topique de l'appareil.

Sexe

Freud pouvait allumer le bout de son cigare de ses rayons infrarouges.

Le postulat de base, la primauté du sexe au noyau de la névrose, s'énonce sur le principe de dichotomie analytique : « J'ai eu un échantillon de 8 névrosés, 3 hommes et 5 femmes. Dans chacun des cas j'ai pu mettre en évidence que c'était le sexe qui déterminait la maladie. J'en tire une confirmation du substrat biologique de la sexualité » (Sigmund Freud, Psychogenèse d'un cas de bisexualité féminine). Le principe économique de la psychanalyse définit une répartition de charges mobiles afférentes à des groupes de représentations sexuelles, une charge pouvant se fixer d'un groupe à l'autre par affinité symbolique de contenus, conduisant à un fractionnement psychédélique (clivage de conscience en euros et francs). Dans le discours de Freud sus-cité, les fractions sont : 3 hommes sur 5 femmes, et 5 femmes sur 3 hommes. Ce principe économique s'applique à toutes les manifestations les plus remarquables du psychisme humain : autisme, mélancolie, angoisse, agoraphobie, ataraxie, cachexie, émo-fivité.

Sexe

Aujourd'hui, par critique de la psychanalyse, la psychologie se désolidarise de l'idole sexuelle de l'implication sioniste de l'ak-sent de perversion sek-suelle sous-jacent à la nature humaine. Il faudrait en effet, pour valider la théorie psychanalytique, envisager la nécessité d'un individu voyant le sexe partout, complètement circonscrit au besoin constant de sexe dans sa forme la plus pornographique, jusqu'à altération psychogène de la vision. Dieu soit loué, un tel individu ne saurait exister pour entamer le capital moral de l'Humanité.

Sexe

Le distinguo d'une logique clinique et proprement nosologique du sexe en psychanalyse vient d'une conception masculine de l'Homme (cf. le complexe de virilité adlérien). La méthode thérapeutique de Joseph Brocante ne descend-elle étymologiquement de l'allemand de Brocante, brocante gebrochen (cassé). Et, en effet, la femme n'est-elle pas un homme avec un pénis cassé (complexe de castration ou prise du Castor) ? La psychanalyse se trouve donc à l'intersection du phallogocentrisme de Jacques Derrida et du phallocentrisme de Jean-Marie Le Penis.

Sexe

Dans La Petite Psychanalyse de l'Esprit, Freud avance que l'Esprit ne se définit par rien d'autre que son inconscience, de sorte que le nœud d'une névrose n'est par principe jamais évident, surtout quand il n'a pas un caractère sexuel[1]. Freud se fait ainsi l'avocat du don combinatoire, et montre par circularité la nécessité du sexuel en psychanalyse.

La psychanalyse se laisse en effet psychanalyser aisément[réf. non nécessaire]. Pour Freud, la névrose obsessionnelle portant sur l'inconscient collectif jungien se rapporte forcément à un point de fixation du régime libidinal de la psychanalyse, qu'une anamnèse peut révéler et résoudre par rumination mentale[2]. En remontant la chaîne des souvenirs et fantasmes, l'analyste actualise le fait que Joseph Brocante soit le père de la psychanalyse. Plus radicalement en descendant la braguette, il peut entrevoir le sexe du patient. A cet égard, Freud élabore le facteur de précipitation de la donnée sexuelle en entreprenant la séduction sexuelle de la psychanalyse, prédisposant celle-ci à une entrée dans la névrose.

De la fixation freudienne on rationalise la symptomatologie du complexe obsessionnel comme une formation réactionnelle entre deux motions pulsionnelles mutuellement refoulées dans leur ambition thématique — le fait même qu'il y ait conflit préjuge du caractère pathologique de la violation de la paternité brocantienne de la psychanalyse : alors que Freud traite des membranes pluri-cellulaires, Jung développe sa typologie de l'Archeopteryx, dont fait partie l'Archeopteryx québécois à l'origine du parc éponyme.

Jung allumait directement sa patiente en bleu de chauffe.

La querelle d'écoles trouvera sa fin historique dans die Endlösung der JungenFreude, ou l'idéologie psychanazi, au Kâmasûbstrat inconscient indéniable :

« Oh oui vous savez, la psychanazi ça rime aryen. »


Sexe

La théorie de l'inconscient se justifie dans le cœur même de l'idée phallocentrique du mâle, en ce qu'elle se définit comme contre-refoulement de la virilité, et donc sur un refoulement vecteur d'inconscient. Si le complexe sous-jacent de virilité détermine la santé mentale par la volonté stéréotypiquement masculine de puissance et de domination dans la conduite sur l'autoroute, celle-ci se fait en enfonçant les pédales, pédale dans son sens homosexuel, sur l' auto-bahn (terme allemand pour l'autoroute). Or auto-bahn se traduit par auto-ban en anglais, soit auto-censure de la composante homosexuelle et/ou auto-érotique. Il apparaît donc une nécessité de l'homosexualité surpassée, et le quotient d'inconscient qui s'y voit rattachée de fait[réf. non nécessaire]. CQFS[3]

Sexe

L'Histoire notera que les académiciens ont trop souvent négligé de corréler la technique psychanalytique aux développements technologiques du début du XXe siècle ayant participé au transport des manifestations spontanées dans la rue par solidarité entre manifestants hystériques :

  • Le moteur à abréaction à courbe de régime hystérique
  • Résistance de type inerte, et non de type autonome-décisionnel (auto-mobile)
  • Découverte de nouvelles sources de libido renouvelable (barrage hystéro-névrotique, névrole obséolienne, paranoïa photovoltaïque)

Ou dans la téléphonie :

Sexe

L'impact du sexe a eu une portée culturelle et scientifique de premier ordre. Le surréalisme, l'automatisme, le dadaïsme, Jackson Pollock, relèvent tous du sexe.

La plus connue des paires sexuelles reste le célèbre commandement zéro de la surpsychanalyse :

Patin, latin, catin, pilule du matin, tu ne tueras touin.

—Commandement zéro de la surpsychanalyse

Ce commandement soulève naturellement la question de savoir si Freud n'avait pas signifié par sexe le satin, donc le textile, et donc le bisextile, et par là l'astronomie belge, qui fait du bisextile une septuinte, soit une année bisextile de 70 jours, soit une puissante connotation sexuelle, par voisinage, par les 69 jours.

Mais même s'ils abondent, les exemples de paires sexuelles demeurent inégaux. Ainsi le beef-steak constitue une instance consistante répandue comme une traînée de poudre, notamment au Mc Donald's. A l'opposé, le bateau-mouche forme une paire inféconde. Le bateau-mouche se traduit par Boot-Biene en allemand et Boat-bee en anglais, qui eux-mêmes signifient "bateau-mouche". On voit bien ici que la paire ne va nulle part.

Sexe

Dans la conversion hystérique, l'affect originel de la représentation sexuelle se transpose vers d'autres représentations dites symboliques, la plupart normalement surpromus par prédisposition héréditaire, ainsi qu'il se produit avec les phobies dans un phénomène dit d' apprentissage par renforcement. Ainsi une phobie latente peut se déclarer sous la condition d'une configuration psycho-économique, ce qui s'avère latéralement bénéfique au sujet hystérique, par exemple dans l'appréhension des appendices dystrophiés (ou grosses bites dans le langage racaille). Les femmes devraient en effet redouter ma grosse bite, ne serait-ce que pour la sauvegarde de leur intégrité anatomique. Elles devraient aussi s'angoisser de ma puissance fécondante apte à conjuguer à la fois jouissance et efficience dans la conduction de l'acte reproducteur.

Sexe

La thérapie trouve son point d'achoppement lorsqu'un transfert se crée entre le patient et le médecin, généralement à travers un apprentissage par renforcement.

Le psychanalyste : J'ai l'intime conviction que vous concevez des fantasmes éveillés à l'égard de votre oncle.
La patiente : Euh... ben non.
Le psychanalyste : (abaisse sa braguette) Vous avez vu ma grosse bite ??
La patiente : Arrêtez !! Arrêtez !!
Le psychanalyste : Ça te dit hein de toucher ??!! Salope !
La patiente : (s'affaisse en sanglots)
Le psychanalyste : Je le savais je le savais !

L'idée d'imposer par contrainte plus ou moins indirecte l'improvisation de fantasmes et souvenirs sexuels aux patients n'a donc aucune vigueur dans la contre-apologétique de la méthode psychanalytique. L'analyste l'impose directement.

Sexe, Sexe, et Sursexe

Dans la psychanalyse freudienne — i.e., non-respectable dans le jargon jungien[4] —, la psychologie humaine suit une topique (ou schéma des domaines pulsionnels) telle que le sexe se représente par le sexe, le sexe par le sexe, et la répression du sexe par le sursexe.

Sexe, sexe et sursexe. On constate objectivement la nature sexuelle de l'appareil psychique.

On peut parfois conjecturer des unions pulsionnelles. Dans ces cas, le sexe, en tant que pulsion, peut s'allier à une pulsion du sexe. L'ensemble, pulsant, peut alors donner du sexe dans des dosages relatifs de sexe et de sexe. Si en effet le principe de plaisir projette vers l'excitation sexuelle, on peut facilement concevoir que la pulsion sexuelle originelle, d'abord introvertie (terme jungien[5]), échappe à l'auto-érotisme pour sexualiser le monde en s'adjoignant du sexe. Le retour partiel vers soi emportant avec lui la composante libidinale du sexe devient alors du masochisme érogène.

Sexe

Sexe

La fille à la mandoline de Picasso, ou comment s'assemblent les pièces du puzzexueul.

Comme le titre de cette section ne le suggère pas, nous allons aborder ici la question du sexe au fondement de la psychanalyse. Cette assise principielle consiste à caractériser l'étiologie spécifique selon deux axes :

  • La capacité déterminante du sexe
  • La force traumatique du sexe

La capacité déterminante du sexe se mesure généralement avec l'émoussage du biseau de l'appendice, et la force traumatique avec l'intensité de l'imbrication des cubes génitaux. Il apparaît donc clairement l'étiologie sexuelle des psychopathologies, ne serait-ce que dans la joueuse de mandoline de Pablo Picasso.

Sexe

Le principe du sexe pour l'analyste praticien se retrouve dans la méthodologie de conduction d'une séance type avec un névrosé, du célèbre Handbuch der Psychoanalyse :

  1. Encourager le (la) patient(e) à parler sans auto-censure de son passé.
  2. Si un évènement se distingue par sa connotation sexuelle hilarante (viol, inceste à trois, rétention des selles, etc.), conclure en enjoignant votre patient(e) à s'esclaffer avec vous de la vanité de la civilisation et de la culture devant l'institution du Ça.
  3. Sinon, si un évènement se ramène, par jeu de mots ou autre contrepèterie, à un détail sexuel répugnant, conclure. Par exemple, s'il (elle) rapporte s'être mis le doigt dans le nez vers l'époque de l'entrée dans la maladie, c'est qu'il (elle) s'est fourré(e) l'œil dans le sphincter, ou en termes plus techniques, a succombé à un reliquat de la phase sadique-anale.
  4. Sinon poursuivre l'anamnèse indéfiniment. Si aucun évènement ne permet de conclure, envisagez les escroqueries suivantes :
    1. Le (la) patient(e) oppose une résistance inconsciente insurmontable de la cure, et c'est d'autant plus visible que celui-(celle-)ci nie à l'instant la moindre volonté de se soustraire à la thérapie. Astuce auto-justificative de cette méthode : sinon le bénéfice du tableau nosographique si difficilement acquis par distinction de la neurasthénie et de l'hystérie se verrait annulé.
    2. Echaffaudez une tournure d'évènements par calembours et exécutez auprès de votre patient un tour présentatoire tel que l'induction passe pour un fait ayant vraiment eu lieu. Par exemple, si elle vous dit avoir passé du temps à bord d'un bateau-mouche, puis qu'elle est descendue à la première escale pour avoir la séance avec vous, vous ne pouvez vous estimer satisfait. Le bateau-mouche ne possède ici aucun pouvoir explicatif. Au contraire, elle a certainement fantasmé sur une péniche, pas un bateau-mouche, et le fait d'avoir pris la correspondance dès la première escale coïncide de manière éclatante à un sentiment de culpabilité latent devant les possibilités sémantiques d'un séjour dans une péniche, en particulier une escalade dans l'érotisme. Vous avez ainsi expliqué les paramètres de son arrivée dans votre cabinet à partir d'une pure observation inductive.
    3. Prenez un évènement plus ou moins au hasard et qualifiez-le de sexuel. Cette méthode constitue la clé de la sexualité infantile. Par exemple si le trauma semble se rattacher au souvenir d'une chute à vélo, re-symbolisez cette chute comme sexuelle. Freud conseille à ce sujet de voir dans la chute l'accouchement dans une fente étroite aussi douloureuse que l'écorchement d'un genou sur la chaussée.
  5. Si aucune des dernières solutions ne semble aboutir, l'étiologie sexuelle a une composante héréditaire (l'étiologie ayant elle-même une étiologie). Si par la suite vous trouvez une solution purement sexuelle, vous n'avez pas à vous dédire : il suffit d'avancer que les solutions se superposent, et que les pulsions héréditaire et sexuelle se renforcent mutuellement.
  6. Si vraiment vraiment aucune solution n'aboutit, se faire payer en liquide en invoquant avec un haussement d'épaules l'impuissance concédée du lacanisme.

Dans le cas où la solution héréditaire souffre de la contestation du (de la) patient(e) par pauvreté du fonds documentaire généaologique, il suffit d'invoquer l'affiliation de la psychanalyse avec l'enseignement hindouiste. Jung conçoit en effet la structure archétypale de l'inconscient collectif, et grâce à l'étiologie archétypale d'obédience hindouiste, le praticien peut toujours ramener l'étiologie à celle d'une figure historique quelconque dans le registre des salopes antécédents jurisprudentiels : Anna O., la Comtesse de Tempête de marde, Messaline, etc. C'est la base de la méthode cathartique, par laquelle la psychanalyse revisite scientifiquement la notion de péché originel, en invoquant le fait que le patient n'est que la réincarnation d'une salope notoire.

Sexe

La thérapeutique psychanalytique repose stratégiquement sur l'intimité développante entre le thérapeute et le (la) malade. Le cas Anna O. démontre clairement[réf. non nécessaire] comment l'annaonymat permet par annaogramme de patrannaonyme d'organnaoniser onanistiquement le ramonage au plus près de l'annaolyste. Anna O. elle-même (de son vrai nom Gretchen Oppenheimer) parlait de "ramonage de cheminée" et de "cure thermale" en alludant à la "chaleur" revalorisée du rapport humain lorsque les noms sont raccourcis. D'après Monty Python, le prénom de Frank, et ses déclinaisons comme Franny Pooh ou Francky Vincent ou tout simplement Fr, raccourcit le passerelle communicative entre le patient et le thérapeute. Le petit-neveu de Richard Nixon le portait notamment d'après John Cleese.

Sexe

Des critiques s'élèvent contre le contenu sexuel de l'homme psychanalytique. En particulier, le philosophe des sciences Karl Popper démontre par sa logique de falsifiabilité empirique de la méthode scientifique que le sexe ne peut passer pour une science par non-réfutabilité de principe. On ne saurait en particulier produire un sexe capable d'infirmer le sexe, en ce sens que la psychanalyse dispose de trop de sexes pour éventuellement ne pas se désinfirmer. Si on lui retire un sexe, elle se réserve toujours la possibilité de répondre par le truchement d'un autre sexe ou une déformation ad hoc. Ce dernier ajoute également au débat :

Bougre d'extrait de sexe !

—Capitaine Haddock

Sexe des Carpathes !

—Capitaine Haddock

Embout de sexe emplumé !

—Capitaine Haddock

Bougre de sexe à la crème au sexe de hérisson !

—Capitaine Haddock

Bougre de faux jetons au sexe tartare !

—Capitaine Haddock

Espèce de sexe mal embouché !

—Capitaine Haddock

Misérable sexe d'eau douce !

—Capitaine Haddock

Crétin du sexe !

—Capitaine Haddock

Sexe de carnaval !

—Capitaine Haddock

Jet de sexe ambulant !

—Capitaine Haddock

Mais l'argument de volatilité de la psychanalyse en tant que science devient intenable et annulable en milieu psychanalytique étant donnée la nature venteusement circulaire de la libido dans la névrole obséolienne.

Par ailleurs, des chrétiens cognitivistes affirment que le sexe y est doctrinalement redondant par rapport au sexe, et qu'il faut arrêter de voir le sexe se reproduire partout, même dans des domaines aussi orthogonaux que le sexe, le sexe, le sexe, ou encore le sexe, sans quoi la descente dans la lie s'aventurera en-deçà de toute possibilité de rédemption morale.

Sexe

Généralement, la méthode psychanalytique est irréfutable, et le sexe du problème donc toujours réfutable (technique maligne Rectum futé et biseau affûté).

La démonstration de l'indigence des critiques se retrouve dans les préceptes fondateurs de la psychanalyse elle-même :

  • Chacun possède dans son inconscient le matériel pour interpréter l'inconscient de l'autre[6].
  • Le refoulement dérive d'un sentiment de culpabilité inconscient.

Les critiques sur la possibilité d'existence d'un inconscient (sexuel de surcroît) ne sont donc que des symptômes de leur sentiment de culpabilité inconscient d'avoir une vue privilégiée sur la sexualité pervasive de l'inconscient des autres et donc du leur. Afin de prévenir dans les règles de l'art les futures critiques, on s'entend généralement à remplacer dans l'assertion précédente les mots "sexuel" et "sexualité" par "psychanalytique" et "psychanalyse" respectivement, ce qui nous donne bien évidemment :

Les critiques sur la possibilité d'existence d'un inconscient (sexuel de surcroît) ne sont donc que des symptômes de leur sentiment de culpabilité inconscient d'avoir une vue privilégiée sur la sexualité pervasive de l'inconscient des autres et donc du leur.

Sexe

Sexe

  1. Freud admet l'existence de cas transparents sur leur origine sexuelle. Il s'agit dans ce cas d'un défaut du travail du préconscient trahissant l'inconscient. Il s'agit alors d'un enchaînement de la conscience consciente du préconscient conscient de l'inconscient.
  2. Sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe sexe
  3. Ce qu'il fallait sexualiser.
  4. Il se donnait ainsi raison de mettre Freud dans le même sac que lui.
  5. Carl G. Jung, Introduction et extraduction du sexe : Comment Pascal n'en est pas revenu d'être venu
  6. Sigmund Freud, Über einige neurotische Mechanismen bei Eifersucht, Paranoia und Homosexualität, 1928
On peut encore faire quelque chose de cet article. Vous pouvez suivre les conseils du chirurgien sur la page de vote.
Qu'avez-vous pensé de l'article "Psychanalyse" ?
Vous pouvez voter ci-dessous. Les résultats seront affichés lorsque vous aurez voté.
Vous n’êtes pas autorisé à voir les résultats de ce sondage avant d’avoir vous-même voté.
Il y avait un vote depuis l’élaboration du sondage au 5 avril 2019 à 15:10.
poll-id B24A587B565721CDA997C5F92537FA4E